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wendy bouchard

  • Yoann Gillet et UPSILON Expression Publique dans La Nouvelle République

    Yoann Gillet veut que sa ville de Tours devienne « la capitale de l’éloquence »

    « Amoureux des mots, du débat, du langage, je souhaite redonner aux gens l’envie de se former à l’expression publique », dit le journaliste Yoann Gillet.

    « Amoureux des mots, du débat, du langage, je souhaite redonner aux gens l’envie de se former à l’expression publique », dit le journaliste Yoann Gillet.
    © Photo NR

     

    Le Tourangeau Yoann Gillet, journaliste de radio et de télé, amoureux des belles lettres, rêve de monter une école des arts oratoires à Tours.

    Tourangeau-la-Fidélité. S’il avait été Compagnon du Devoir, Yoann Gillet aurait certainement gagné ce surnom. À 34 ans, l’ancien élève du lycée Balzac, élevé au biberon de la Touraine comme ses aïeux, n’a jamais quitté sa province, même quand il n’y était plus. Car après sa sortie de l’École publique de journalisme de Tours, le jeune homme est « monté » à Paris, faire de la télé et de la radio. Enrôlé de plein gré aux côtés de grands noms du métier. À commencer par Paul Amar qui lui donne sa chance, alors qu’il est encore étudiant, pour plusieurs formats d’émissions sur France 5 - Les 109, D’un monde à l’autre, États généraux - puis le jeune homme, boulimique d’infos, fait ses armes sur Europe 1, où il rencontre celle qui deviendra sa « sœur de cœur », Wendy Bouchard. Yoann rejoint la chaîne LCI et Michel Field, et il commence en même temps un long compagnonnage professionnel avec Serge Moati, pour l’émission Ripostes sur France 5.
    Le jour de la tuerie de Charlie, il est avec le ministre de l’Intérieur Le célèbre journaliste réalisateur confie à son jeune protégé la production et la réalisation de documentaires. Ainsi que la rédaction en chef de l’émission Politiques sur LCP. Yoann réalise des docs sur les législatives de 2012, sur l’Élysée, il filme la famille Le Pen… Le 7 janvier 2015, Yoann et Moati tournent au ministère de l’Intérieur, avec Bernard Cazeneuve, quand a lieu la tuerie à Charlie Hebdo. Le duo fera deux films autour des attentats de Charlie et du Bataclan.
    Après huit ans de compagnonnage, Yoann Gillet quitte Serge Moati pour rejoindre la société « Et la suite..! Productions », que dirige Rachel Kahn, l’épouse de Jean-François.
    Il rencontre alors Franz-Olivier Giesbert avec lequel il co-écrira Juppé, le ressuscité pour France 3, puis la série de documentaires Opération Élysée.

     
    Yoann Gillet et son amie Wendy Bouchard, avec laquelle il a débuté à Europe 1; il est le parrain de sa fille et elle fut son témoin de mariage.

    Yoann Gillet et son amie Wendy Bouchard, avec laquelle il a débuté à Europe 1; il est le parrain de sa fille et elle fut son témoin de mariage.
    © DR

    À Paris, il fonde le Tours Capitale Club avec… Wilfried Schwartz À Paris, le jeune homme au look de nouveau romantique se lie d’amitié avec un autre Tourangeau célèbre, Gonzague Saint Bris, qu’il propose comme président d’honneur du Tours Capitale Club qu’il a créé en 2011 avec son ami de fac, Wilfried Schwartz, lequel deviendra, trois ans plus tard, le maire de La Riche…
    Après douze années parisiennes menées à un rythme effréné, Yoann est revenu l’an dernier à Tours pour s’y resourcer et y travailler, avec son épouse Claire. En mettant ses activités journalistiques un peu entre parenthèses, Yoann Gillet a créé un centre de conseil et de formation à l’expression publique, Upsilon, qu’il inaugurera vendredi soir (1). « Il faut permettre à chacun de reprendre goût à l’oral, trop de rapports de force s’installent, trop de discriminations se font, trop d’autocensure se crée par l’absence de maîtrise de la prise de parole en public », estime-t-il. Dans la foulée, Yoann a aussi lancé un logiciel de réalité virtuelle, « La salle des orateurs », sur lequel s’essaient des étudiants, des salariés, des cadres tétanisés par l’idée de parler en public… Yoann qui a aussi repris du service dans la troupe de théâtre de son enfance, le Théâtre du Préau, dirigé par Alain Féret, enseigne l’expression orale à l’Institut européen du journalisme (IEJ) et à l’Institut supérieur du droit (ISD). Mais un jour, c’est à Tours, la ville qu’il a chevillée au cœur, que Yoann Gillet espère enseigner : « Je milite pour que l’art oratoire entre à l’école et je rêverais de faire de ma ville la capitale de l’éloquence ! »

     

    Article de Pascal Landré

  • Les Tourangeaux de Paris en balade

    Ce n’est pas à Saint-Germain-des-Prés, mais bien à Tours, dans ce café de l’avenue de Grammont que les Tourangeaux de Paris s’étaient donné rendez-vous samedi dernier.

    Ce n’est pas à Saint-Germain-des-Prés, mais bien à Tours, dans ce café de l’avenue de Grammont que les Tourangeaux de Paris s’étaient donné rendez-vous samedi dernier.
    © Photo NR

    La Nouvelle République
    Par Pascal LANDREPublié le

    Les Tourangeaux à Paris ont leur association, le Tours Capitale Club, qui fédère quelques célébrités et organise des sorties en terres tourangelles.

    Après avoir marché pour le climat le 8 septembre à Tours et à Paris, le Tours Capitale Club (TCC) a poursuivi son « combat de sensibilisation aux comportements responsables » en accueillant à Tours, le week-end dernier, les Randonneurs du XIe, une association de marcheurs du 11e arrondissement de Paris.

    De bonne heure samedi matin, Parisiens et Tourangeaux se donnaient rendez-vous autour d’un café, au Saint-Germain, avenue de Grammont, avant d’entamer une visite de la ville au pas du randonneur. Leur périple les conduisait jusqu’à la ferme bio-expérimentale du château de la Bourdaisière, à Montlouis, pour y découvrir les activités de permaculture du site estampillé « Fermes d’avenir ».

    Les marcheurs poursuivaient leur randonnée dans le terroir vouvrillon, jusqu’à la maison Aubert, vignerons, pour terminer en soirée, dans les caves troglodytiques du siège tourangeau du Tours Capitale Club, dans la Vallée Coquette, autour d’un banquet en hommage à Balzac.

    Une immersion gourmande en Touraine qui se faisait en chanson, grâce aux talents de chanteur de Claude Pinon, un ancien viticulteur de 95 ans. La soirée se clôturait par une cérémonie de remise d’insignes d’ambassadeurs du Tours Capitale Club, à six de ses membres, par Yoann Gillet, journaliste fondateur (en 2011) et président d’honneur du TCC, et Vincent Perrotin, son nouveau président.

    Fort aujourd’hui d’environ une quarantaine de membres actifs et de trois cents sympathisants – et de 539 amis Facebook –, le Tours Capitale Club réunit des Parisiens originaires de Touraine ou des « amis de la Touraine », parmi lesquels quelques célébrités des médias comme Laurent Cabrol, Serge Moati, Jean-Luc Petitrenaud ou Wendy Bouchard.

    Avec Laurent Cabrol, Jean-Luc Petitrenaud ou Wendy Bouchard

    D’ailleurs, jusqu’à peu, le siège parisien du club était le « Café Mode », rue François Ier, célèbre « annexe » de la station Europe 1 voisine.

    Parmi les Tourangeaux « pur jus » du TCC, on citera l’ancien ministre et maire de Richelieu Hervé Novelli et bien sûr, le regretté Gonzague Saint Bris qui était le parrain de l’association, lui qui avait créé jadis « La Touraine à Paris ».

    L’une des activités principales du TCC réside dans l’organisation d’évènements culturels « dans le but de révéler les atouts de la Touraine et de mettre en lumière les talents tourangeaux », ainsi que « d’accueillir les Parisiens en Touraine et de leur faire découvrir la région à travers des activités enrichissantes ».

    Le TCC participe aussi aux 10 et 20 Km de Tours ou organise des rencontres à Paris, avec des Tourangeaux, notamment des entrepreneurs qui ont réussi, comme récemment avec Sébastien Forest, le fondateur d’Allô Resto, et Arnaud Burgot, le cofondateur d’Ulule.