UA-89433682-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Upsilon - Page 3

  • Concours d’éloquence à Tours : de futurs ténors du barreau parmi les candidats ?

    Ils étaient 42 étudiants venus de toutes les disciplines au départ, mais six étudiants en droit pour la finale de samedi.

    Ils étaient 42 étudiants venus de toutes les disciplines au départ, mais six étudiants en droit pour la finale de samedi.
    © (Photos NR)

    La Nouvelle République
    Par Pascal LANDREPublié le

    Organisé par les étudiants en droit de Tours, le concours d’éloquence Hermès opposait hier six étudiants (tous en droit) dans une finale âprement disputée.

    Savoir parler en public, captiver et convaincre son auditoire. Tout cela requiert une maîtrise évidente de l’art oratoire. Les apprentis juristes de la fac de droit le savent bien, particulièrement ces jeunes étudiants qui se rêvent peut-être déjà en futurs ténors des prétoires.

    Depuis sept ans, la fac du campus des Deux-Lions leur donne la possibilité d’exprimer leurs talents avec le concours d’éloquence Hermès. Mais cette année, la compétition s’est ouverte à tous les étudiants, quels qu’ils soient. Des 42 concurrents, six sont arrivés en finale. Elle se jouait hier, dans le grand amphi A, pour l’ultime épreuve. Et hasard ou pas, ce sont six élèves de droit qui ont été retenus au vu des précédentes épreuves que jugeaient des enseignants, des professionnels du langage.
    « L’éloquence ce n’est pas la grandiloquence… » Face à un public d’élèves, de parents et de professeurs, et à un jury de pros de l’expression, Quentin, Héloïse, Paul, Maximilien, Axelle et Emmanuel ont tout donné pour convaincre. Et ce n’était pas là chose aisée, de briller en dix minutes, surtout quand le tirage au sort vous attribuait comme sujet existentiel « Pain au chocolat ou chocolatine ? » C’est la jeune Héloïse qui s’est frottée à cet épineux dilemme. Quentin avait tiré le sujet le plus grave : « Qui veut la paix prépare la guerre ? » ; Paul devait nous persuader que le hasard fait parfois souvent bien les choses, Axelle dissertait sur la liberté d’expression, tandis que Maximilien devait répondre à cette question bizarre : « Y a t-il de bonnes ou de mauvaises intentions ? » Pas vraiment plus simple la tâche d’Emmanuel qui avait eu quelques jours pour plancher sur celle-ci : « Toute question ne mérite-t-elle pas réponse ? » Hum, hum…

    Ce sont cinq élèves du Master 2 de droit privé, Cécile, Claire, Jade, Manon et Gabrielle, qui avaient organisé et mis en scène ce concours, en s’assurant la participation d’un éminent jury composé du doyen de la fac, de deux journalistes, d’un magistrat de la Cour de cassation et d’un doctorant en droit.

    Un jury qui notait l’aisance verbale, la diction, la force de persuasion, l’occupation de l’espace, et bien sûr la qualité même de l’exposé. « L’éloquence, ce n’est pas la grandiloquence, c’est la capacité à donner vie et sens à ce qu’on raconte à un public », soulignait Yoann Gillet, journaliste et formateur à l’art oratoire.

    Samedi, les ténors du barreau en herbe devaient aussi composer avec une difficulté supplémentaire : être parfaitement audible et compréhensible avec un masque sur la bouche.

    Axelle Fesneau, la gagnante

    Au terme des prestations des six concurrents, c’est Axelle Fesneau, étudiante en L3 de droit, qui a remporté l’épreuve avec brio, en obtenant le double vote du jury et celui du public. L’étudiante a gagné deux places pour le spa du château d’Artigny, qui, en raison du contexte sanitaire, n’a pu accueillir cette finale comme c’était d’abord prévu.

  • Yoann Gillet, Président d'UPSILON, itw Sud Radio

    La bonne idée de la semaine / Upsilon sur sud radio

    Sur Sud radio, interviewée par Laurence Garcia, Yoann Gillet plaide pour le retour de l'enseignement de l'éloquence au sein de l'Education nationale et présente sa société de formation à la prise de parole en public UPSILON Expression Publique.

    yoann gillet, sud radio, upsilon, éloquence, laurence garcia

     

  • Mon intervention à l'ISTH sur les attentats de 2015

    Comment filmer un Ministère au cœur des crises ? Comment gérer les relations entre journalistes et communicants ? Retour en interview sur la conférence que j'ai donnée à l'ISTH aux côtés de mon très bon ami Benjamin Ménard, à l'époque conseiller en communication de Bernard Cazeneuve.